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producteur

Cooperativa Regional de Producción Agropecuaria La Sureñita Limitada - COREPROSUL

création
fédération de coopératives de femmes depuis 1985; certification BIO depuis 2004
partenaire claro depuis
2013
lieu
Tegucigalpa (distribution), Province de Choluteca (productrices)
producteurs
160 productrices organisées dans 3 groupes qui se chargent elles-mêmes de la distribution
produits
Noix de cajou
numéro de producteur
300666

L’organisation
Un tiers de la superficie du Honduras pourrait être dédié à l'agriculture, en réalité seul 10% à peine sont cultivés. Alors que la majorité des grands propriétaires laissent d'immenses surfaces en jachère ou gagnent leur vie avec l'exportation de produits de grandes plantations, la majorité des petits cultivateurs ne possèdent pas assez de terres pour couvrir les besoins de leur famille. Une réforme agraire prévue dans les années 70 se solda par un échec en raison de la corruption qui gangrène l'administation. C'est pourquoi aujourd'hui encore un tiers de la population doit se débrouiller comme travailleur itinérant, et beaucoup migrent vers la capitale. Cet exode rural croissant maintient, selon les estimations, 80% de la population sous le seuil de pauvreté. Le Honduras a aujourd'hui encore la réputation d'être la maison des pauvres d'Amérique Centrale. Le secteur agraire ne génère que 15% du PIB, les produits principaux − fournis en majorité par de grands propriétaires terriens − sont les bananes, le café et les crustacés. Choluteca, province au climat aride située au Sud du pays est sans doute la plus pauvre. Les précipitations, rares mais abondantes, rendent les conditions pour l'agriculture encore plus difficiles. Les sources de revenus sont quasi exclusivement réservées aux hommes. La majorité des femmes ne savent ni lire ni écrire, et beaucoup doivent élever seules leurs enfants. C'est dans ce contexte, et avec l'aide d'oeuvres de bienfaisance, que les femmes ont commencé à s'organiser au milieu des années 80 afin de s'entraider pour préparer, administrer et commercialiser des noix de cajou. Ces femmes furent bientôt en mesure de commercialiser leurs produits sur le marché local, puis international. Aujourd'hui la fédération La Sureñita (les petites du Sud) est composée de 3 groupes de femmes avec un total de 160 productrices. Les cultures répondent désormais aux principes de l'agriculture biologique. Les femmes gèrent elles-mêmes le traitement et l'exportation de la marchandise. Les femmes tirent de la vente de leurs produits des revenus importants pour leur famille et cela leur permet de jouer un rôle actif au sein de la communauté.

Le produit
Les délicieuses et craquantes noix de cajou bio enrobées de chocolat blanc au yogourt sont disponibles chez claro. Tous les ingrédients, yogourt, crème, petit-lait et poudre de lait maigre compris sont certifiés biologiques.

L’impact du commerce équitable
- Garantie d'un prix minimum, amélioration des conditions de travail et de vie
- Création d'un fonds social et de formation, petits crédits avantageux, prise en charge des frais médicaux